Nouveau concours de RP [ouvert]

J'ai l'impression en effet... Boarf, c'est pas grave, il n'y a qu'a reveiller les arbitres.

Je me demandais aussi, s'il y aurait un autre concours RP ?

Ben, vu que celui la n'a toujours pas abouti, je crois que c'est mal barré.

moi moi moi ^^ moi moi moi


mon rp :

Je serais heureux de dire que mon histoire est une belle et magnifique histoire. Mais hélas, rien que le début commence mal .

Donc commençons par le début, cela remonte à mes premiers vrais souvenirs; j’étais élevé dans un orphelinat, et, d’après la directrice, je serais le fruit d’une dépravée qui n’a rien eu de mieux à faire que de me laisser sous le perron de l’orphelinat. Je n’ai connu que l’orphelinat sans jamais avoir été adopté; ce qu’il faut savoir c’est que dans un tel établissement les enfants ne sont pas amis, car c’est au premier qui se fera adopter pour quitter cet enfer . Mais je n’ai jamais cherché à me faire adopter, peut être parce que j’espérais que ma mère reviendrait me chercher; Je comprends mon erreur maintenant !

C’est dans la soirée d’Halloween, que mon histoire n’a fait qu’empirer . Tout le monde était allé se coucher sous l’œil du surveillant général; la nuit était orageuse et la pire arriva .Quand je me suis réveillé les flammes brûlaient le dortoir. La fumée était épaisse et tout le monde criait que pouvions nous faire, nous étions que des enfants. Très vite, mon instinct de survie me dicta de fuir, mais par où la pièce était voilée par les flammes. Puis peu à peu, on se met à tousser et votre respiration se fait plus dure. Tout devenait flou et puis plus rien que du noir.
Je me suis réveillé dans une ruelle à trois pâtés de maison de l’orphelinat qui se trouvait cercle par une foule désireuse de savoir ce qui c’était passé. Oui , j’ai dit: était passé , car l’incendie était éteins depuis peu . D’après le commissaire de police, il n’y avait aucun survie et tout le monde avait brûlé; et moi alors j’était le preuve qu’il y avait des survivants. Je pris l’initiative d’aller voir le commissaire pour lui mettre le fait accomplit sous les yeux; je le suivis tant bien que mal et quand je fus enfin à porté de lui, je pus m’empêché d’écoute ce qu’il disait:

- Ils sont tous mort docteur ? Dit-il à un homme vêtue de blanc
- Oui monsieur le commissaire ! Répondit-il avant de reprendre avec incitation Mais pas par les flammes!
- Quoi ? Qu’Est-ce que ça veut dire ? Ne jouait pas avec la mémoire des morts !
- Non je dis vrai . Certes les flammes les auraient eu mais ils étaient déjà mort avant de brûler
- Comment ? Qui les a tué ?
- Plutôt qu’est-ce qui les a tué ?
- Comment ça qu’est-ce que ?
- Voyez vous j’ai cru qu’ils étaient par les flammes mais les flammes ne rongent pas les os
- Ronger vous dites .
- Oui, certains ce sont fait manger si je suis directe.
- Donc ce quelque chose a mis le feu ?
- C’est vous le flic !

Imagiez le choc pour un enfant, d’entendre ces étranges propos. Je pris mes jambe à mon cou et erra dans la ville sans but avec de grosses larmes coulant sur mes joues.

- Pourquoi pleures tu ?

C’était la première fois que je sortais dehors et elle était ma première rencontre. Elle portait une robe d’un bleu si clair qu’elle était tel un être angélique en cet automne; ses cheveux couleur feuille d’automne brillé d’un certain éclat sous l’effet d’un soleil timide.

- Je pleure, lui dis je en essuyant mon visage

Elle cessa pas de m’observer comme si elle cherchait quelque chose, et moi, je ne puis ôter mon regard elle. Disons que c’est une amourette de jeunesse . Mais je ne puis maintenant penser à elle sans avoir un léger sourire sur mon comportement bêta .

- Marguerite! Tu viens ma chérie
- Oui maman! Au revoir !

Dire que je ne lui-même pas dis au revoir pourquoi ? Ô maintenant, cela n’a plus d’importance vu ce qui m’attends ! Je suis Lance Neomoon et mes jours sont comptés car je suis dans le couloir de la mort : je suis condamné à la peine de mort pour des meurtres dont je n’ai pas connaissance. Peut-être qu’un jour aurez vous la réponse; moi je ne peux plus rien à présent.